De nombreux lieux existent déjà pour accueillir et accompagner la personne malade dépendante;
Mais sa famille ?
L’expérience permet de constater que dans une problématique d’addiction, le malade n’est pas le seul à souffrir.
Sa famille souffre aussi.
Bien souvent en grand désarroi, ces familles trouvent peu de portes auxquelles frapper; Portes spécifiques à ce qu’elles vivent. Afin d’offrir aussi une écoute et un accompagnement à la famille de la personne dépendante, le cabinet TRAIT-D-UNION vous propose un espace privilégié où chacun peut exprimer et travailler sur ce qu’il vit en lien avec la maladie de son proche.
« Que la personne qui trouble votre vie soit ou ait été:
un adolescent en révolte, un mari déprimé, un parent névrosé,
un malade chronique, une personne handicapée, un obsédé du travail,
de la nourriture ou du sexe, un alcoolique, un joueur invétéré, un criminel,
un autre codépendant ou toute combinaison possible de ces troubles. »
(Melody Beattie, Vaincre la codépendance)
un adolescent en révolte, un mari déprimé, un parent névrosé,
un malade chronique, une personne handicapée, un obsédé du travail,
de la nourriture ou du sexe, un alcoolique, un joueur invétéré, un criminel,
un autre codépendant ou toute combinaison possible de ces troubles. »
(Melody Beattie, Vaincre la codépendance)
Les prestations du cabinet TRAIT-D-UNION peuvent vous aider.
Les modes de fonctionnement induits par la maladie de la dépendance modifient la communication et les liens au sein des relations familiales. Les conséquences de la maladie entraînent chaque membre du système « Famille » dans un tourbillon d’incompréhensionS, remordS, peurS, ressentimentS, amertumeS, culpabilitéS, honteS, colèreS... pouvant mener:
• à la rupture de lien
• à l’épuisement
• à la dépression
• à l’isolement
Dans un souci permanent pour son proche malade, l’individu finit souvent par « s’oublier lui-même ». C’est alors tout le fonctionnement du système « famille » qui s’en trouve perturbé. Les rôles et positions se trouvent inversés et les repères de chaque membre de la famille sont alors modifiés. Cependant, même lorsque le proche malade semble contempler les conséquences de ses actes sans s’en inquiéter, les membres de la cellule familiale peuvent vivre et prendre soin d’eux-mêmes.